Ces difficultés peuvent être de natures et d'origines diverses :

• Troubles dépressifs / anxieux
• Troubles psychotiques / unipolaires et bipolaires / dysthymiques et cyclothymiques
• Profils de personnalité, dont ceux repris dans le DSM et ses clusters A (paranoïaque, schizoïde, schizotypique), B (antisocial, borderline, histrionique, narcissique) et C (évitant, dépendant, obsessionnel-compulsif)
• Troubles neurodéveloppementaux : TDA/H, troubles "dys" (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, ...), déficience intellectuelle, trouble du spectre autistique (TSA), ... diagnostiqués ou non dans l'enfance
• Lésions cérébrales acquises : AVC, traumatismes crâniens, tumeurs, infections virales ou bactériennes, intoxications par alcool, cannabis ou autres substances, ...
• Pathologies neurodégénératives : Alzheimer, Parkinson, démences fronto-temporales, à corps de Lewy, ...
• Syndromes d'épuisement (burn-out)
• etc. 

Devant ces difficultés, il importe de ne pas être fataliste. Les connaissances en psychologie et en neuropsychologie clinique permettent aujourd'hui des prises en charge efficaces, de nature à améliorer de manière significative la qualité de vie tant du patient que de ses proches. 

Dans certains cas particuliers, une expertise du dommage psychique peut s'avérer utile, par exemple en vue d'une indemnisation ou d'un accompagnement thérapeutique. Cette évaluation peut être réalisée suite à un choc émotionnel, un accident, une agression, un attentat ou tout autre événement traumatique susceptible d'avoir eu un impact sur le fonctionnement psycho-affectif ou cognitif.